MesAïeux.com, un excellent choix pour construire son arbre généalogique

Chapelle Hôtel-Dieu (Immaculée-Conception) de Montréal

Pierre Dagenais fréquenta Anne Brandon, l'aima et la conduisit au pied de l'autel de la chapelle de l'Hôtel-Dieu à Montréal pour la bénédiction nuptiale, mardi le 17 novembre 1665.

Chapelle Ste-Marguerite (Salle de l'Oratoire) - La Rochelle, France

C'est à cette chapelle que mon ancêtre Pierre Dagenais dit Lépine a été baptisé. C'était le dimanche 17 septembre 1634, à St-Sauveur de La Rochelle (Charente-Maritime), France.

Maison de François Dagenais fils (1774)

En 1774, le cultivateur François Dagenais fils reçoit de ses parents, François Dagenais et Marguerite Turcot, la terre agricole familiale, une maison en bois et d’autres bâtiments. Elle est située au 5555, rue Jarry Est, St-Léonard, Montréal.

Anne Marguerite Brandon, une Fille du Roy (1634-1689)

Anne Marguerite Brandon, une jeune femme âgée de 31 ans et fille du Roy, est débarquée à Québec pour la première fois le 18 juin 1665 avec 30 engagés, 90 autres jeunes femmes et filles du Roy.

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22 juin 2015

À propos

Bonjour,

Je me nomme Jean-François Dagenais et je suis le fondateur de ce blogue généalogique dédié à mes ancêtres. C'est pour moi une façon bien spéciale de découvrir mon passé et de leur rendre hommage. 

Je suis né à Montréal en août 1964. C'est l'annéeNelson Mandela avait été emprisonné à perpétuité en Afrique du Sud, avec huit autres membres de l'ANC. 

J'ai vécu mon enfance à Fabreville (Laval) pendant douze ans et passé une bonne partie de l'âge adulte à Longueuil. Je demeure maintenant à Saint-Hyacinthe, tout près de Drummondville.

Je ne me souviens pas vraiment de mon grand-père paternel, Jean-Armand, bien qu'il soit décédé le 12 mai 1973. Je n'avais que neuf ans à peine à l'époque où mon père m'avait annoncé son décès. 

Par contre, je n'ai que de doux souvenirs de ma grand-mère Caron qui nous gardait, mon frère et moi sur l'heure du midi en revenant de l'école. Elle nous préparait souvent son plat de pommes de terre en purée mélangé à du steak haché cuit. 


Marguerite Caron
J'ai su que grand-père Dagenais avait un cousin ou petit-cousin. Il se prénommait Lucien et avait été le fondateur et premier maire de Fabreville dans les années 50-60. 

L'autre raison qui m'a poussé à m'investir davantage dans mon arbre généalogique, c'est après avoir lu le roman de l'auteur de best-seller bien connu, Alex Haley. Je veux parler de Racines. Son histoire m'avait tellement emballé que j'ai relu ce bouquin plusieurs fois de suite. 
L'auteur de Racines : Alex Haley
Mais plus je feuilletais les pages du livre et plus j'avais la conviction que je devais faire quelque chose pour moi. Pour ma propre satisfaction. Je ne connaissais personne dans la famille qui possédait un arbre généalogique. Je ne savais même pas s'il en existait au moins un. 

J'ai donc commencé sérieusement à faire des recherches vers les années 2000 et mon premier blogue de généalogie a été créé il y a 13 ans. 

C'était pour moi tout un défi  mais j'ai pu réussir à remonter jusqu'à l'ancêtre ayant débarqué à Ville-Marie (Montréal) vers 1657 ou peut-être antérieur à cela. Il s'appelait Pierre Dagenais dit Lépine

Origine du patronyme Dagenais



DAGENAIS - Définition pour « d'Agenais » : surnom donné à une personne originaire de cette région autour d'Agen, en Lot-et-Garonne.

Un bon point de départ dans la généalogie Dagenais, est le nom lui-même, qui est enraciné à Agenais, une ancienne province de France sous l'ancien régime. 

Situé dans la partie sud-ouest du pays, la région a une longue et riche histoire qui remonte à ses origines comme gaulois et romains « Aginnum Civitas Agennensium »

Dans l'ancienne Gaule, la région était le pays des Nitiobroges avec leur capital Aginnum, qui, au quatrième siècle a été Agennensium Civitas, qui faisait partie de Aquitania Secunda, ce qui a formé le diocèse d'Agenais. 

Ayant en général partagé le sort de l'Aquitaine durant les périodes mérovingiennes et carolingiennes, Agenais devint ensuite un comté héréditaire dans la partie du pays maintenant appelé Gascogne (Pays basque).

Elle a été disputée par divers royaumes et les entités politiques pour une grande partie de son histoire, et cela remonte à près de 2000 ans. La région constitue aujourd'hui pratiquement tout le département français de Lot-et-Garonne. 

Carte de la France et le département de Lot-et-Garonne (47)

Le préfixe français (d '​​ dans sa forme abrégée devant une voyelle) signifie « à partir de », et donc la construction d'Agenais indique quelque chose ou quelqu'un provenant d'Agenais. Comme c'est le cas à l'origine des nombreux noms de famille français, les habitants retirés d'une région ou vivants ailleurs auraient été désignés par leur prénom, le préfixe de, et le nom de la région qu'ils avaient quitté. Au fil du temps, beaucoup de ces constructions a été officialisé comme nom de famille.

Le siège administratif de l'Agenais dans les temps anciens était la ville d'Agen, tel qu'il demeure aujourd'hui. Les résidents de la ville sont aussi appelés Agenais ou Agenois, et la même utilisation du préfixe a probablement été utilisé pour désigner une personne qui venait de cette ville. 

Certains souligneront aussi que l'utilisation de la majuscule « De ou D » en français peut également indiquer la noblesse, et il y avait en effet un Compte d'Agenais (comte de Agenais) pendant plusieurs siècles jusqu'à la Révolution française en 1789.

Néanmoins, il est beaucoup plus logique de supposer que la majuscule D pour le patronyme Dagenais est née de l'orthographe simplifiée au fil du temps. Quelques-uns des premières orthographes enregistrées de la famille est en fait l'utilisation du d minuscule. Le nom Dagenais, donc, signifie simplement «de la province de ou d'Agenais» ou encore «parmi les gens d'Agen ».

Au cours des quatre derniers siècles, le nom a été enregistré comme Dagenais, Dagenez, d'Agenez, Dagenay, d'Agenais, Dageney, Dagenest, Dagenet et Dagenets, qui sont identiques à la prononciation. L'ancêtre signait Dageney. Les notaires et recenseurs écrivaient Dagenest.

Signature de Pierre Dagenais (Dageney)

Des explications sur les diverses orthographes comprennent une mauvaise transcription, l'analphabétisme généralisée et les préférences personnelles. 

Vu que la majorité des premiers immigrants vivaient dans un environnement hostile, plusieurs générations de nos premiers arrivants n'avaient aucune éducation formelle et donc ne savaient tout simplement ni lire ni écrire.

Le surnom Lépine, porté parfois par notre pionnier, rappellerait les aiguilles dont se servaient les tailleurs. 

21 juin 2015

Les familles Dusablon et Therrien de Saint-Casimir

L'origine des familles Dusablon de Saint-Casimir, Portneuf

En 1842, il y a cinq familles de Dusablon établient à la paroisse de Saint-Casimir, dans le comté de Portneuf. Antoine, de la cinquième génération, et son fils Hilaire vivent du côté nord de la rivière Sainte-Anne. 


Du côté sud, on en trouve trois : Joseph, marié à Angèle Rivard, Joseph marié à Esther Perreault, tous deux de la sixième génération, ainsi que le père de ce dernier, Pierre, marié à Marie-Josephte Tessier.

L'ancêtre des Dusablon

L'ancêtre de ces familles Dusablon se nomme Pierre Lévesque, fils de Gilles et de Mathurine Thibault. Il est originaire de Saint-Pierre de Doué-la-Fontaine, dans l'arrondissement de Saumur, évêché d'Angers en Anjou (Marne-et-Loire), France. 


Armoiries de la famille Lévesque
Il passe un contrat de mariage avec Marie Croiset, devant le notaire Roy-Châtellereault à Sainte-Anne-de-la-Pérade le 10 août 1677. Marie était la fille de Pierre Croizet et de Marie Brouarde de Marennes, en Charentes-Maritimes. 

Elle était également veuve du soldat Jean Laquerre dit Rencontre, arrivé avec le régiment de Carignan-Salière en septembre 1665. Le couple s'établit à Ste-Anne de La Pérade sur un lot concédé par le Seigneur où il eut au moins quatre enfants

Le surnom de Dusablon fut accolé au patronyme Lévesque en 1727 selon Jean Rompré (voir La famille Rompré en Nouvelle-France et Les amis de l'histoire de La Pérade, 1981). Vers le début des années 1800, seul le patronyme Dusablon demeure.
Les familles Therrien/Terrien/Thérien
Armoiries des familles Therrien
Pierre Therrien et Marguerite Langlois représentent la souche de la plupart des Therriens de Saint-Casimir. Ils se sont mariés à Sainte-Anne-de-la-Pérade, dans le comté de Les Chenaux mais le père de Pierre et de ses ancêtres étaient originaires de l'île-aux-Coudres et de l'île d'Orléans. 

Nous allons donc retracer son ascendance jusqu'à l'ancêtre Pierre, époux de Gabrielle Mineau et reconstituer cette famille-souche dans un premier temps. Disons pour la plupart des Therrien de Saint-Casimir puisqu'en 1849, Marcel Therrien est originaire de Nicolet et est marié à Simone Tessier. 

Ce Therrien est issu d'une autre branche dont le premier ancêtre québécois est Jean, marié à Judith Rigaud. Le couple Therrien-Tessier n'a pas laissé de descendants à Saint-Casimir mais nous retrouvons l'ascendance de cette branche Therrien pour démontrer les origines françaises différentes.

Une autre branche de la famille Therrien, surnommé Jamieson ou Seamson/Simson apparaît dans quelques actes notariés inscrits sur ancestry, notamment, dénote une origine irlandaise. Ce pionnier s'installe à Saint-Casimir avant l'année 1868. Il se prénomme Georges.

Mariage entre Georges "Jamieson/Simson" et Lumina Allard
Le 21 novembre 1865, à Saint-Casimir, Georges prendra pour épouse Lumina Allard, fille de Jean et de Marguerite Ripeau. Elle est originaire de Sainte-Anne-de-la-Pérade,⁹ dans le comté de Les Chenaux. Leur fille, Emma voit le jour le 29 juin 1870. Elle épouse Henri Dusablon le 15 juillet 1890. 


Mariage entre Henri Dusablon et Emma Jamieson Terrien
Par ailleurs, les témoins au baptême du deuxième enfant de Georges et Lumina sont Noé-Antoine Therrien, fils de Pierre et Marguerite Langlois, son épouse. Selon les historiens de la région, il y a lieu de croire qu'il y a un lien entre les deux lignées. La clé de cette énigme est racontée par une de ses petites-filles, madame Jeannette Therrien-Bélanger.

Elle rapporte que son grand-père Georges est un Jamieson arrivé d'Irlande avec son père, ce dernier ayant laissé sa femme et un autre enfant plus jeune dans son pays. Georges à 7 ou 8 ans. Durant la traversée, le père attrape le choléra. Celui-ci est rapidement hospitalisé et décède peu de temps après.

Le fils est placé dans un orphelinat mais sera adopté aussitôt par une famille Therrien de Saint-Casimir. Il porte ce patronyme mais y accole le surnom Jamieson lors de son mariage. Il n'a pas renié ni oublié ses origines. 

Dans le livre de Marianna O'Gallagher, La Grosse-Île, porte d'entrée du Canada 1832-1937, elle y retranscrit la liste des orphelins victimes de cette terrible maladie (Liste alphabétique des orphelins dans l'asile catholique de Québec, 1847).

On y trouve un enfant du nom de « Courtney Hutchison, âge 7, date d'entrée 15 septembre 1847 », avec des points d'interrogations quant au père, à la mère, à la paroisse, au comté d'origine et au nom du bateau qui l'avait pris à son bord au moment de la traversée, et qu'il a été adopté par Pierre Terrien (sic) de Saint-Casimir.

Un renvoi mentionne que l'enfant a été « abandonné par ses parents ». Dans le journal Canada Gazette du 6 mai 1848, on peu lire : « Names of the Emigrants Orphans who were received into the Several Religious and Charitable Institutions in Canada-East: Sept. 15, Hutchison, Courtney, Age 7, Given to P. Thérien S. Casimir»

La même liste mentionne aussi : « Oct 26, Griffin, Daniel, Age 15, Given to Daniel Foley, S. Casimir ». Gallagher (op. cit.) donne le Nombre de sépultures faites chaque jour durant la quarantaine sans qu'il ait été possible de mentionner les noms dans les actes: suit un nombre moyen d'une vingtaine de personnes par jour en août et septembre 1847.

Il est vraisemblable de croire que le père de Courtney Hutchison ait été du nombre après une courte hospitalisation à la Grosse-Île. Peut-être est-il mort durant la traversée, cela n'est pas possible de le vérifier. Il est fort probable qu'il ait été hospitalisé à Québec mais les autorités n'aurait pas permis cela, étant porteur d'une maladie contagieuse.

L'acte de mariage confirme hors de tout doute que la famille d'adoption est belle et bien celle de Pierre Therrien et de Marguerite Langlois, une famille-souche de la cinquième génération de Therrien en terre québécoise.

Selon la version retenue, un enfant de sept ans se retrouve avec de nombreux autres dans un orphelinat, loin de chez lui, sa terre natale. Il ne parle pas français. Les Soeurs, malgré leur dévouement, ont d'autres préoccupations et ne les incite pas à se confier.

Il est plus simple de considérer l'enfant comme abandonné. Par ailleurs, il est placé dans une famille de 10 enfants vivants, le plus jeune ayant 10 ans. La famille ayant accepté d'adopter un enfant l'entoure bien, connaît les misères subies par le jeune nouvellement arrivé et le réconforte. 

Petit à petit, l'enfant apprend la langue, se sent accepté et en confiance. Mais un enfant de cet âge se rappelle, raconte sa version, laquelle sera retenue dans la famille Therrien, à savoir qu'il a eu un père mort d'une terrible maladie, qu'il a une mère et un jeune frère ou une jeune soeur demeurés en Irlande.

Ces choses-là peuvent marquer un enfant et ne s'oublient pas. À cet âge, on n'invente rien. Ce que sa petite-fille, madame Therrien-Bélanger raconte aujourd'hui est certainement la vraie version. Quant au surnom, il faut croire que Hutchison est le bon. 

L'enfant répète son nom mais sa famille d'adoption n'a pas l'oreille faite à la langue anglaise et, ce qui était fréquent à l'époque pour les patronymes français, il y aurait eu une déformation dans l'épellation du mot Hutchison en Jamieson ou Simson.

PIERRE TERRIEN (Joseph, Marie Gagnon) m. Marguerite Langlois (Jean, Thérèse Dolbec) SALP* 18-01-1820 ++ famille souche ++ établie dans le rang Rivière Blanche à Saint-Casimir et avait adopté Courtney Hutchison/Georges Jamieson/Simson en 1847. 

Enfants :
  1. Marguerite n. 19-10-1820 SALP  d. 16-05-1842  m. Olivier Xavier Charette (François, Thérèse Chesné) SALP 10-01-1837
  2. Louis n. 16-02-1822 SALP  m. Marie-Euphrosine Gendron
  3. Marie-Desneiges n. 26-05-1823 SALP  d. 06-05-1854  m. Joseph Bélanger (Charles, Marguerite Vallée)  SC** 09-09-1851
  4. Marie-Odile n. 01-07-1824 SALP  d. 13-10-1880 SC  m. Olivier Crête (Olivier, Marguerite Toupin) SC 27-08-1849
  5. Léocadie n. 17-10-1826 SALP
  6. Pierre n. 21-05-1828 SALP d. 09-05-1887 SC  m. Philie Baril
  7. Marie n. 04-09-1829 SALP
  8. Célina n. vers 1831 d. 14-06-1900 SC  m. Michel Crête (vf Rose-de-Lima Grandbois) SC  03-10-1859
  9. Antoine Noé n. 15-12-1832 SALP  m. Camille Audet
  10. Sophie n. 29-01-1834 SALP  m. Zéphirin Vallée (Françoise-Xavier, Olympe Laquerre) SC  06-07-1852 
  11. Éléonore n. 16-01-1836 SALP  d. 06-03-1837 SALP
Légende :
GP (Greenfield Park) - MTL (Montréal) - SA (Saint-Alban, Portneuf) - SC (Saint-Casimir, Portneuf) - SALP (Sainte-Anne-de-La-Pérade, Portneuf) - SJVL (Saint-Jean-Vianney, Longueuil) - SRL (Saint-Robert, Longueuil) - NDP (Notre-Dame-de-la-Protection, Noranda)
P.S. : Les noms sont liés au site de généalogie Ancestry.ca. Pour visionner mon arbre généalogique, il suffit de s'enregistrer (gratuitement) et de se connecter par la suite. 


Enfants :
  1. Emma n. 29-06-1870 SC m. Henri Dusablon 15-07-1890 SC d.  03-02-1929 Québec, QC
Petits-enfants (Emma) :
  1. Alexandre n. 09-04-1910 SC b. 10-04-1910 SC m. Marie-Reine Denis (parents inconnus) date inconnue d. 30-11-1953 
  2. Béatrice* n. 04-02-1906 SC  d. 09-10-1971 MTL m. Georges Antonio Bélanger 11-10-1941  NDP s. 12-10-1971 (Repos St-François d'Assise, Montréal, QC) 
  3. Lorenzo n. 15-04-1900 SC d. 02-02-1982 St-Michel, Montréal, QC s. 05-02-1982 (Repos St-François d'Assise, Montréal, QC)
  4. Gédéon n. 04-10-1891 SC d. 20-12-1963 Montréal, QC s. 24 -12-1963 MTL
  5. Juliette n. 11-10-1907 SC b. 16-10-1907 SC d. 09-06-1997 MTL s. 14-06-1997 (Repos St-François d'Assise - MTL, QC) Commentaire : inhummée sous le nom Du Sablon
Enfant (Béatrice*) :
  1. Denise* n. 23-10-1944 NDP m. Jean-Paul Dagenais Saint-Mathieu, MTL (QC) 11-02-1967 
Enfants de (Denise*) :
  1. Jean-François (moi) n. 26-08-1964 MTL b. 15-11-1964 m. Sylvie Bilodeau 26-07-1991 Beekmantown (Plattsburgh), NY, USA  (divorcé 20-02-2012 Longueuil, QC) 
  2. Patrick n. 07-09-1969 MTL 
Enfants de (Jean-François)
  1. Pascal n. 22-01-1983 GP b. 13-02-1983 SJVL conjoint de fait Véronique, Deschambres 
  2. Marie-Ève n.  06-02-1991 GP b. 30-03-1991 SRL 
  3. Médéric n. 18-09-1993 GP b. 21-11-1993 SRL
Petits-enfants :
  1. Anthony n. 20-10-2004 GP d. 20-10-2004 GP s. 
  2. Noémie n. 15-03-2006 GP b. 
  3. Zachary n. 07-10-2007 GP b. 

 
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